J.237_Elias G

« Selon la théologie de l’Eglise de Jésus Christ des saints des derniers jours, les plaques d’or également appelées dans une certaine littérature du XIX ème siècle la Bible d’or se présentent sous l’aspect d’un livre relié et dont les pages sont des plaques métalliques gravées dont Joseph Smith affirme qu’elles étaient sa source pour la traduction du livre de Mormon »

Elias Grimshaw trouve étonnant le fait que Neil Armstrong se rende dans la fameuse grotte en compagnie des britanniques et équatoriens. N’était-ce pas parce que Neil Armstrong était dépêché par les mormons ( religion à laquelle il semble appartenir ) Dans l’espoir d’effectuer un rapprochement entre les plaques d’or ( de la fameuse bibliothèque découverte dans les grottes précitées, et dont on caresse l’hypothèse qu’elle eut été un lieu de dépôt de la culture Atlante ? )

J’ai envie de dire rien de tellement étonnant à cela , pas plus que des Templiers et le fantôme de l’abbé Saunière hantant les ruines de Rennes le Château.

Petit rappel sur Béranger Saunière.

Cet homme d’Église est principalement connu pour avoir dépensé d’importantes sommes d’argent durant son ministère effectué à Rennes-le-Château, du fait d’un important trafic de messes. Néanmoins, cet enrichissement personnel reste étroitement associé, dans l’imaginaire collectif, à la découverte d’un hypothétique trésor par cet homme sur le site même du village. Cette affaire débute avec des rumeurs d’une découverte supposée d’objets de valeur ou de parchemins (voire les deux) par cet abbé, alors qu’il avait entrepris des travaux de rénovation dans son église paroissiale en très mauvais état dans le courant de l’année 1891, dont notamment son maître-autel. ( source Wikipédia )

Il serait utile d’évoquer la situation du village de Rennes le Château à l’époque de la III ème République ( maçonnique ?)

La commune a été rendue célèbre par l’abbé Bérenger Saunière, un de ses curés, lequel vécut et officia dans la paroisse à la fin du xixe siècle et au début du xxe siècle et entreprit à ses frais des travaux de rénovation et d’embellissement de l’église et ses abords. Malgré l’absence de preuves historiques, divers auteurs ont émis l’idée qu’il aurait trouvé un trésor en 1885, dont l’origine et la nature exactes sont inconnues. De fait, l’abbé Saunière subit une suspense a divinis à la suite de l’enquête pour trafic de messes engagée contre lui par sa hiérarchie, punition grave pour un prêtre à toute époque. L’abbé a, d’ailleurs, toujours du mal à s’expliquer, refusant de donner à cette hiérarchie des justifications claires et détaillées sur l’origine de sa supposée fortune.

Elias effectue mentalement des rapprochements. Bizarre que ce soient toujours des abbés que l’on trouve associés aux trésors. L’abbé Crespi en Equateur et maintenant l’abbé Saunière dans l’Aude.

on nomme également Carlo Crespi « Vénérable » ce qui est le second titre de reconnaissance des mérites que l’église catholique attribue à une personne après celui de serviteur de Dieu sur la voie de la sainteté ( béatification & canonisation ) l’héroïcité de ses vertus ayant été reconnue.

Voici ce qu’en dit un extrait du site Nominis

Le père Carlo Crespi Croci est originaire de Legnano, en Italie, où il est né en 1891. Après ses études et son ordination sacerdotale, il part en 1923 pour Cuenca où, pendant 59 ans, il mène des initiatives visant à l’évangélisation et la promotion humaine et chrétienne. Il se fait connaître à la fois pour ses qualités d’évangélisateur – alliées à un authentique témoignage chrétien – et pour sa renommée de scientifique, notamment dans les domaines de la botanique et de l’archéologie. Les pierres angulaires de sa vie spirituelle et missionnaire sont l’Eucharistie et sa consécration à Marie Auxiliatrice, et à son modèle saint Jean Bosco qu’il essaie d’imiter en diffusant la foi surtout parmi les jeunes. Dans les dernières années de sa vie, il se consacre au ministère de la confession, passant même 17 heures par jour au confessionnal. Il est décédé à l’âge de 90 ans.

Il faudrait aussi se demander qui était Jean Bosco. Mais ce serait au risque de perdre un peu le fil d’une réflexion déjà bien embrouillée.

Pour des raisons obscures ( voici un magnifique pléonasme ) Elias Grimschaw crée des analogies que l’on pourrait qualifier d’intempestive.

intempestif :

Qui se produit à contretemps, tombe mal à propos et peut déranger par son caractère inconvenant. Synon. imprévu, inopiné, inopportun.Démarche, visite, voyage intempestif (-ive); parole, rire intempestif (-ive). Un silence général avait suivi cette phrase intempestive (Theuriet, Mar. Gérard,1875, p. 175).Antoine (…) sentit combien sa venue était intempestive; mais il n’était plus temps de reculer (Martin du G., Thib., Pénitenc., 1922, p. 675):

1. Et grand-père et grand’mère le regardaient stupéfaits, tandis que Max (…) s’essayait à indiquer, par une mine sévère, que cette gaîté lui semblait au moins intempestive. Gyp, Souv. pte fille,1927, p. 133.

− Emploi subst. Caractère de ce qui est intempestif, s’accomplit à contretemps. Il s’excusait sur l’intempestif de la démarche (Sainte-Beuve, Pensées,1868, p. 139). ( source CNRTL)

Le travail serait de lister toutes les sources évoquant les deux affaires, celles concernant le père Crespi en premier lieu.

Comment effectuer de nos jours ce genre de recherche sinon avec un célèbre moteur de recherches.

Et peut-on se fier à l’ordre d’apparition de ces dites sources en estimant que leur qualité dépendent d’une position dans les pages régurgitées par un algorithme ? Algorithme dont on sait désormais qu’il n’est pas le même pour tous, qu’il ne présente que ce que l’utilisateur est sensé trouver « confortable »

Elias avait essayé d’effectuer la même recherche sur plusieurs machines de l’université, mais le rendu avait été le même, et il en avait donc convenu que l’algorithme attribuait un résultat par adresse ip croisé avec un certain nombre de données comme notamment le compte auquel il fallait être inscrit soit chez Google, soit chez Microsoft. La simulation d’une information qu’à priori on estimerait fiable était quasi parfaite.

Peut-être que les analogies qui surgissent ( à contretemps ) dans l’esprit d’Elias Grimshaw font partie du système tout aussi bien que les révoltes appartiennent à l’illusion de démocratie)

Accumulons des notes au jour le jour et donnons nous des jalons pour les relire. Le bon grain de l’ivraie et tout le tutti.

J.236_ Elias G.

La culture devient un fardeau dans ce monde où ne prime plus que l’égoïsme la cupidité et la bestialité. C’est à cet instant que l’on peut prendre la mesure de ce mot dans une paume de la main, l’examiner. La culture d’une époque n’ a probablement aucun lien avec celle d’une époque différente. On imagine une continuité mais c’est complètement subjectif. Il n’y a qu’à le constater dans sa propre existence. L’homme que j’étais hier, je ne le suis plus.

Le blanc sale d’un œil qui s’ouvre sur une journée ensoleillée…

Je me demande si on peut confondre le blanc de l’œil et la cornée .

C’est un des très rares tissus (avec l’épiderme) à ne pas être vascularisé par des capillaires sanguins. En effet la cornée doit conserver sa transparence. L’absence de vaisseaux sanguins ne lui permettant pas de se nourrir ou de se protéger de l’infection, elle trouve l’oxygène dans les larmes et les nutriments dans l’humeur aqueuse de la chambre antérieure qui se trouve derrière elle. ( source wikipédia )

Passionnant !

C’est cela la survie : trouver l’oxygène !

La bascule s’effectue-une fois encore- en ce mois d’avril de l’an de grâce deux mille vingt quatre après Jésus Christ.

si un autre point de repère existe je peux tout autant rajouter 12 000 ans, voire 26 000; évoquer un tout autre calendrier.

Saviez vous que Neil Arsmstrong accompagna les militaires qui n’appartenaient pas tous à l’armée équatorienne dans La Cueva de los Tayos 

Le réalisateur et scénariste Miguel Garzón vient de présenter son œuvre la plus récente inspirée de la Cueva de los Tayos, une grotte énigmatique de la communauté Shuar de Coangos (Morona Santiago). Dans ce documentaire, Garzón nous entraîne dans une gigantesque expédition scientifique et militaire parrainée en 1976 par les gouvernements de Grande-Bretagne et d’Équateur, et dont le but était d’explorer des galeries légendaires et parmi ses rangs figure l’Américain Neil Armstrong, le premier humain à y avoir mis les pieds. sur la Lune.

Qu’est-ce qui vous a poussé à démarrer ce projet ?
Dès le début, il m’a semblé que c’était un sujet avec beaucoup de potentiel cinématographique, il y avait des personnages intéressants, il y avait des anecdotes, il y avait des épisodes historiques. Il y avait les mormons, les francs-maçons, Neil Armstrong et puis il m’a semblé, et cela s’est confirmé, que filmer à l’intérieur de la grotte pouvait être quelque chose de spectaculaire.

Qui avez-vous été contacté pour le film ?
Nous avons contacté des personnes liées à la grotte et certaines d’entre elles apparaissent dans le documentaire. Nous avons d’abord parlé avec Rafael Calderón, un homme d’affaires de Quito, mais il est également un membre très éminent du groupe Rama (groupe de contact extraterrestre) ici en Équateur. Il s’est rendu plusieurs fois dans la grotte et avait de nombreuses histoires à raconter. .. Plus tard, nous avons contacté Theofilos Toulkeridis, qui vit en Équateur depuis de nombreuses années et bien qu’il fasse partie des personnes qui en savent beaucoup sur les grottes en Équateur, il n’était pas allé à la Cueva de los Tayos et lorsque nous lui avons parlé de la projet, il est devenu très excité… Une fois que nous avons réuni ces deux visions : la mystique et la scientifique, nous savions déjà que nous avions une base sur laquelle commencer à travailler. source (2017) : https://www.eluniverso.com/vida/2017/12/24/nota/6538312/misterio-cueva-pelicula-miguel-garzon/

encore un peu plus d’information sur cette expédition de 1976 ?

L’expédition scientifique britannique de 1976, accompagnée par Neil Arsmstrong

[…]Si l’expédition menée par Moricz était conséquente (16 personnes au total), l’envergue de cette aventure britannique était toute autre. Grâce à un budget d’un million de livres sterling furent en effet regroupées 102 personnes, 62 britanniques et 40 équatoriens, dont 5 scientifiques britanniques et une équatorienne, la biologiste Laura Arcos. L’armée équatorienne offrit quant à elle sa totale coopération, et permit de préparer une zone d’atterrissage située proche du site, en gérant également le transport et la logistique de plus de 45 tonnes d’équipement, provisions et personnel au travers de la jungle vierge d’Amazonie.

43 voyages au total, mobilisant 4 avions et deux hélicoptères furent nécessaires pour cette opération, à comparer avec les 43 mules qu’utilisa Moricz à l’époque. […]

Quelques infos sur Armstrong ? A noter qu’il participe dans les années 50 à la guerre de Corée 78 missions sur des chasseurs F9F Panther. ( comme le géniteur de P.B ) Notes du Dibbouk.